AMA

attention danger, ne luttez pas avec vos enfants, à Noël ou d'autres jours

oui mes cocos (c'est bon pour les cocottes aussi) vous pouvez jouer, mais sans compétition ni lutte, méfiez vous surtout des garçons.

Ruffo, oui, le pédopsy de Marseille, de l'hôpital de la Timone vient de faire l'éloge de la pudeur et de la retenue: un enfant, ce n'est pas un copain, ni un coujoint ... et bien moi, j'en rajoute une couche. Pas de lutte physique ou intellectuelle avec des enfants! sinon, quand ils seront plus grand que vous (si, si, cela arrive, les générations noujvelles sont plus grandes qu'avant), le rapport parent/enfant qui aura été faussé leur permettra de se sentir plus fort que vous, sans aucun verrou.

Ne vous étonnez pas alors si un fils établit un rapport de force physique avec vous: vous l'aurez incité à cela, en luttant avec lui quand il était petit: pour obtenir gain de cause, ou à l'occasion d'une dispute, le barrage du jamais-fait n'existera pas, il vous sautera dessus et vous castagnera ...

Non, non, c'est une réalité, la peur dans les familles devant un enfant violent à qui on n'a pas établi de limites existe: croyez moi, jamais de lutte, ce n'est ni un copain, ni un compétiteur pour vous.

Commentaires:

Ecrit par Vendredi le Vendredi 23 Janvier 2004, 00:51 Je suis de ton avis. Les enfants - et les ados - ont besoin de repères pour vivre leur formation constante. En étant conscients des limites que les adultes leur posent (ce qui devrait normalement être le cas, mais ne l'est pas toujours) et en pouvant se confier à eux (idem), ils devraient grandir sans trop de soucis. Dans un monde imparfait comme le nôtre, maintenir ces repères est une tâche difficile, mais pas impossible.  Repondre a ce commentaire